aigueblanche
Risques Majeurs
Risques Majeurs
Le plan communal de sauvegarde (PCS) est un outil réalisé à l'échelle communale, sous la responsabilité du Maire, pour planifier les actions des acteurs communaux de la gestion du risque (élus, agents municipaux, bénévoles, entreprises partenaires) en cas d'événements majeurs naturels, technologiques ou sanitaires. Il a pour objectif l'information préventive et la protection de la population. Il est en lien avec le DICRIM.
Il se base sur le recensement des vulnérabilités et des risques (présents, potentiels et à venir (par exemple lié au changement climatique) sur la commune et des moyens disponibles (communaux ou privés).
Il prévoit l'organisation nécessaire pour assurer l'alerte, l'information, la protection et le soutien de la population au regard des risques et prévoit la mise en place de l'accueil pour les naufragés de la route, principalement en période hivernale.
Consultez le PCS : document prochainement en ligne
Canicule : les conseils pratiques
La canicule est susceptible d'entraîner des répercussions graves sur la santé, en particulier chez les nourrissons et les personnes âgées, plus exposées aux risques de déshydratation et de coups de chaleurs. Pour limiter les risques, suivez ces conseils pratiques :
- Buvez régulièrement de l’eau sans attendre d’avoir soif. Munissez-vous toujours d'une bouteille d'eau lors de vos déplacements. Proposez régulièrement, même en l'absence de demande, des boissons fraîches aux jeunes enfants et aux personnes âgées en plus de leur régime alimentaire normal. Si besoin aidez-les à boire ;
- Rafraîchissez-vous et mouillez-vous le corps (au moins le visage et les avants bras) plusieurs fois par jour ; · Mangez en quantité suffisante et ne buvez pas d’alcool ;
- Évitez de sortir aux heures les plus chaudes et passez plusieurs heures par jour dans un lieu frais (cinéma, bibliothèque municipale, supermarché, musée…) ;
- Évitez les efforts physiques ;
- Maintenez votre logement frais (fermez fenêtres et volets la journée, ouvrez-les le soir et la nuit s’il fait plus frais et équipez autant que possible les pièces de ventilateurs ) ;
- Ne laissez jamais, même quelques instants, des enfants ou des personnes fragiles seuls dans une voiture ou dans un espace mal ventilé ; N'hésitez pas à dévêtir les nourrissons et à augmenter la fréquence des bains à une température de 1 à 2°C en dessous de la température corporelle. Incitez les personnes âgées à se passer des linges frais et humides sur le corps ;
- Évitez de manipuler des substances polluantes (utilisation de solvants, de spray) ;
- Les personnes atteintes de maladies respiratoires ou cardiovasculaires chroniques doivent poursuivre leurs traitements en cours et impérativement consulter un médecin si une gêne respiratoire inhabituelle apparaît ;
- Faites preuve de solidarité avec vos voisins et vos proches Pensez à donner régulièrement de vos nouvelles et, dès que nécessaire, osez demander de l’aide
- Consultez régulièrement le site de Météo-France pour vous informer.
Les numéros d’urgence à connaître sont les suivants :
- 15 Samu,
- 18 Pompiers,
- 112 Numéro d’urgence unique européen
Un numéro d’information est également disponible du 1er juin au 31 août :
0800 06 66 66 Canicule Info service (appel gratuit).
Pour plus d’informations, consulter ce site :
Suite à la sécheresse exceptionnelle de 2003, les services de l’État se sont organisés pour anticiper et accompagner les situations de tension sur la ressource en eau. La Direction Départementale des Territoires (DDT ), en tant que pilote de la Mission Inter-Service de l’Eau et de la Nature, coordonne les actions de suivi et de gestion de crise.
L’objectif principal de cette gestion consiste à garantir en tout temps une ressource en eau suffisante pour les usages incompressibles au regard de la santé ou de la sécurité (eau potable et défense incendie), tout en maintenant un débit minimal dans les cours d’eau afin d’y préserver la vie aquatique.
Cela passe en particulier par la prise progressive de mesures de restriction visant à limiter la pression de prélèvement sur les milieux aquatiques, avec pour but d’anticiper les situations de tension quantitative.
Les usagers sont donc appelés à maintenir une vigilance particulière afin de limiter leur consommation d’eau et réduire la pression sur les milieux concernés.
Pour toute autre information, consulter le site ci-dessous :
Dernier arrêté préfectoral relatif à la situation de sécheresse
Risque de rupture de barrage
Un barrage est un ouvrage artificiel établi en travers du lit d’un cours d’eau, retenant ou pouvant retenir l’eau. Il existe toutefois des cas naturels où l’accumulation de matériaux au fil du temps, à la suite de mouvements de terrain, a fini par provoquer l'équivalent d'un barrage (c’est le cas du lac Léman alimenté par le Rhône).
Les barrages ont plusieurs fonctions: régulation de cours d’eau, irrigation des cultures, alimentation en eau des villes, production d’énergie électrique, retenue de rejets de mines ou de chantiers, activité de tourisme et de loisirs, lutte contre les incendies…
La Savoie compte 14 barrages dont 5 de plus de 15 millions de m3 : Tignes, Roselend, Girotte, Bissorte et Mont-Cenis. Une rupture de barrage correspond à une destruction partielle ou totale de l’ouvrage et entraîne la formation d’une onde de submersion ; celle-ci engendre l’élévation brutale du niveau de l’eau à l’aval, voire un gigantesque torrent.
Systèmes d'alerte
Les sirènes implantées à l’aval des grands barrages, qui émettent un son de corne de brume (en cas de rupture imminente de l’ouvrage uniquement). Au niveau local, les moyens d’alerte varient d’une commune à l’autre (sirènes communales, systèmes d’appel téléphonique en masse, ensembles mobiles d’alerte, porte-à-porte, panneaux à message variable, etc.) et leurs modalités de mise en œuvre dépendent des dispositions prises par la municipalité dans le cadre notamment du Plan Communal de Sauvegarde (PCS).
Si le système d’alerte retentit, vous devez :
- Évacuer et gagner le plus rapidement possible les points hauts les plus proches cités dans le plan particulier d’intervention (PPI) de l’ouvrage. A défaut, rejoindre les étages supérieurs d’un immeuble élevé et solide ;
- En cas de rupture d’un ouvrage hydraulique (barrage, ...), les zones situées en aval sont inondées en quelques minutes. L’évacuation ou, à défaut, l’accès à une hauteur doit donc être immédiat dès que l'on entend la corne de brume.
- Attendre les consignes des autorités ou le signal de fin d’alerte (son continue de 30 secondes) pour quitter les points hauts. L’évaluation du danger est difficile. Un piéton et une voiture peuvent être emportés par des flots de seulement 30 cm de hauteur. Attendre les consignes ou le signal de fin d’alerte vous protège du danger.
Pour en savoir plus sur le risque « Rupture de barrage »
Comment reconnaître le système d'alerte ?
Sirène d’alerte
Le réseau national d'alerte (RNA) a pour but d'alerter la population d'un danger immédiat. Composé d'environ 4300 sirènes, ce réseau, conçu au départ pour alerter les populations d'une menace aérienne (bombardement classique ou nucléaire), peut être utilisé pour faire face à un accident d'origine technologique (usines SEVESO) ou naturel (inondations…).

Risque de rupture de barrage
Le signal d'alerte se compose d’un son modulé, montant et descendant, de trois séquences d’une minute et quarante et une secondes, séparées par un silence de cinq secondes.

La fin de l’alerte est annoncée par un signal continu de 30 secondes.
Pour écouter le signal d’alerte :
La fin de l’alerte est annoncée par un signal continu de 30 secondes.
Tous les premiers mercredi du mois à midi, les sirènes font l’objet d’un exercice.
Ce signal d’exercice ne dure, lui, qu’une minute et quarante et une secondes seulement.
Dans les secteurs situés en aval immédiat d’un ouvrage hydraulique, un signal d’alerte spécifique de type "corne de brume" avertit la population de la rupture de l’ouvrage ou d’un lâché d’eau important. Il comporte un cycle d’une durée minimum de 2.
Minutes, composée d’émissions sonores de deux secondes séparées par un intervalle de trois secondes.
Conduite à tenir en cas d’alerte
- Mettez-vous à l’abri
- Ecoutez France Bleu, France Infos, France Inter
- N’allez pas chercher les enfants à l’école
- Ne téléphonez pas
Découvrez-les plus en détail sur www.lesbonsreflexes.com les moyens d'alerte
Dispositif sècheresse
Dispositif sècheresse
Suite à la sécheresse exceptionnelle de 2003, les services de l’État se sont organisés pour anticiper et accompagner les situations de tension sur la ressource en eau. La Direction Départementale des Territoires (DDT ), en tant que pilote de la Mission Inter-Service de l’Eau et de la Nature, coordonne les actions de suivi et de gestion de crise.
L’objectif principal de cette gestion consiste à garantir en tout temps une ressource en eau suffisante pour les usages incompressibles au regard de la santé ou de la sécurité (eau potable et défense incendie), tout en maintenant un débit minimal dans les cours d’eau afin d’y préserver la vie aquatique.
Cela passe en particulier par la prise progressive de mesures de restriction visant à limiter la pression de prélèvement sur les milieux aquatiques, avec pour but d’anticiper les situations de tension quantitative.
Les usagers sont donc appelés à maintenir une vigilance particulière afin de limiter leur consommation d’eau et réduire la pression sur les milieux concernés.
Pour toute autre information, consulter le site ci-dessous :
Dernier arrêté préfectoral relatif à la situation de sécheresse
Le Jardin de Tarentaise
Le jardin de Tarentaise

Les coteaux d’Aigueblanche, situés sur l’adret du bassin, constituent un espace intermédiaire entre la ville, en fond de vallée et la haute montagne.
Ce territoire, aux pentes douces et accessibles, a toujours été cultivé par ses habitants.
Entre la basse et la haute Tarentaise, le large et lumineux bassin d’Aigueblanche était alors désigné, à cause de sa fertilité, par le nom de Jardin de la Tarentaise.
Pourtant, ce paysage autrefois façonné par les cultures, les vignes et l’élevage, tend aujourd’hui à s’effacer avec l’abandon progressif des terres agricoles et une mutation des usages de ce territoire. Les coteaux s’enfrichent et n’apparaissent plus comme une entité lisible. La disparition des terres agricoles des coteaux d’Aigueblanche est une problématique paysagère majeure qui résonne à l’échelle de toute la Tarentaise.
C’est pourquoi, la Communauté de Communes des Vallées d’Aigueblanche s’est engagée dans une démarche de valorisation durable : l’idée générale étant de réintroduire de l’activité agricole et arboricole viable, de stopper la croissance de l’enfrichement et d’instaurer des itinéraires pédestres suscitant des envies de promenades comme par exemple «la boucle des 7 hameaux ».
CULTIVONS LE JARDIN DE LA TARENTAISE !
La conduite d’un tel projet apportera une plus-value paysagère au territoire et créera un nouvel espace public au sein duquel exploitants agricoles, habitants des hameaux et de la vallée, pratiquants de pleine nature et visiteurs se partageront espace et ressources pour les faire vivre durablement.
UN PEU D’HISTOIRE…
Les vignes d’Aigueblanche, autrefois très réputées, occupaient la totalité des coteaux. En 1792, pratiquement tout le vignoble appartenait à l’archevêque de Moûtiers. Le raisin était travaillé au Plan du Truy pour être ensuite réparti dans les différents domaines de l’Église.
Au moment du Concordat (1801), l’archevêché fut déplacé à Chambéry et les Savoyards récupérèrent leurs terres : chaque famille avait sa cabane pour ranger ses outils.
En 1876, le phylloxera arriva en Savoie et détruisit en grande partie le vignoble. Il fallut alors replanter, un par un, tous les ceps avec des plans hybrides américains et les regreffer. Mais ce travail était long et minutieux et il fallait le réaliser à l’époque de la fenaison ou des récoltes. Beaucoup utilisèrent alors des plants directs plus rustiques et supportant mieux le climat. En décembre 1902, le Conseil Municipal vota les fonds pour la création du chemin du Moulin et d’une route reliant Grand-Cœur à Aigueblanche (chemin des vignes actuel) pour faciliter le travail.
En 1937, une grande partie des vignobles des Esserieux fut détruite lors de l’éboulement de Roche Platte. Aujourd’hui, la majorité du vignoble est abandonnée.

ENVIRONNEMENT
ENVIRONNEMENT

Les coteaux d’Aigueblanche, situés sur l’adret du bassin, constituent un espace intermédiaire entre la ville, en fond de vallée et la haute montagne.
Ce territoire, aux pentes douces et accessibles, a toujours été cultivé par ses habitants.
Entre la basse et la haute Tarentaise, le large et lumineux bassin d’Aigueblanche était alors désigné, à cause de sa fertilité, par le nom de Jardin de la Tarentaise.
Pourtant, ce paysage autrefois façonné par les cultures, les vignes et l’élevage, tend aujourd’hui à s’effacer avec l’abandon progressif des terres agricoles et une mutation des usages de ce territoire. Les coteaux s’enfrichent et n’apparaissent plus comme une entité lisible. La disparition des terres agricoles des coteaux d’Aigueblanche est une problématique paysagère majeure qui résonne à l’échelle de toute la Tarentaise.
C’est pourquoi, la Communauté de Communes des Vallées d’Aigueblanche s’est engagée dans une démarche de valorisation durable : l’idée générale étant de réintroduire de l’activité agricole et arboricole viable, de stopper la croissance de l’enfrichement et d’instaurer des itinéraires pédestres suscitant des envies de promenades comme par exemple «la boucle des 7 hameaux ».
CULTIVONS LE JARDIN DE LA TARENTAISE !
La conduite d’un tel projet apportera une plus-value paysagère au territoire et créera un nouvel espace public au sein duquel exploitants agricoles, habitants des hameaux et de la vallée, pratiquants de pleine nature et visiteurs se partageront espace et ressources pour les faire vivre durablement.
UN PEU D’HISTOIRE…
Les vignes d’Aigueblanche, autrefois très réputées, occupaient la totalité des coteaux. En 1792, pratiquement tout le vignoble appartenait à l’archevêque de Moûtiers. Le raisin était travaillé au Plan du Truy pour être ensuite réparti dans les différents domaines de l’Église.
Au moment du Concordat (1801), l’archevêché fut déplacé à Chambéry et les Savoyards récupérèrent leurs terres : chaque famille avait sa cabane pour ranger ses outils.
En 1876, le phylloxera arriva en Savoie et détruisit en grande partie le vignoble. Il fallut alors replanter, un par un, tous les ceps avec des plans hybrides américains et les regreffer. Mais ce travail était long et minutieux et il fallait le réaliser à l’époque de la fenaison ou des récoltes. Beaucoup utilisèrent alors des plants directs plus rustiques et supportant mieux le climat. En décembre 1902, le Conseil Municipal vota les fonds pour la création du chemin du Moulin et d’une route reliant Grand-Cœur à Aigueblanche (chemin des vignes actuel) pour faciliter le travail.
En 1937, une grande partie des vignobles des Esserieux fut détruite lors de l’éboulement de Roche Platte. Aujourd’hui, la majorité du vignoble est abandonnée.

LE FLEURISSEMENT 🌼
Grand-Aigueblanche est une commune où il fait bon vivre. Les habitants bénéficient d’un cadre de vie agréable, tout en ayant à proximité des services et des commerces, sans oublier la promenade de la cascade du Morel, les chemins dans les forêts environnantes et les nombreux sentiers balisés.
Le fleurissement est une bonne manière de parfaire cet environnement et de le rendre d’autant plus accueillant.
Fleurir autrement
Chaque année la terre se réchauffe un peu plus et le soleil amenuise nos ressources en eau. Avec la sécheresse il devient évident de jardiner autrement. Sans doute devra-t-on, à l’avenir, se tourner vers des plantes vivaces, des plantes de terrain sec plus résistantes et plus faciles à entretenir.
Le concours communal des maisons fleuries et jardins potagers
Un concours communal des maisons fleuries et jardins potagers a été mis en place en 2020 sur la commune de Grand-Aigueblanche.
C’est un concours convivial qui a pour but d’encourager et de valoriser les initiatives de fleurissement de chacun d’entre nous dans le but de contribuer à l’amélioration de notre cadre de vie et à l’embellissement de notre commune.
Chaque maison fleurie est unique. Elle est l’image de notre histoire et de notre créativité individuelle.
Fleurir sa maison, son balcon, son pas-de-porte, son gîte, son camping, son entreprise est un moment convivial, un moment de plaisir et peut-être la joie d’être récompensé autour d’un verre de l’amitié.
Les heureux gagnants de ce concours communal remporteront des prix allant de 20 € à 60 €*
De plus, les participants ayant obtenu un prix dans chacune des catégories seront désignés aux responsables du jury départemental du « concours des villes, villages et maisons fleuris » afin de participer à ce concours départemental.
Les heureux gagnants du concours départemental remporteront également un prix.
* Voir règlement du concours ci-dessous
EDITION 2025
RÈGLEMENT DU CONCOURS COMMUNAL 2025
BULLETIN INSCRIPTION CONCOURS 2025
RÉSULTATS CONCOURS 2024
RÉSULTATS DU CONCOURS COMMUNAL 2024 pour les participants, personnes inscrites
RÉSULTATS DU CONCOURS COMMUNAL 2024 Prix "Coup de coeur" (personnes non inscrites)
RÉSULTATS DU CONCOURS COMMUNAL 2024 Hors concours
RÉSULTATS DU CONCOURS DÉPARTEMENTAL 2024
BRAVO à toutes et tous. A l'année prochaine !
AFFICHE DU CONCOURS 2024
BULLETIN INSCRIPTION CONCOURS 2024
RÉSULTATS DU CONCOURS COMMUNAL 2023
RÉSULTATS DU CONCOURS DÉPARTEMENTAL 2023
RÉSULTATS DU CONCOURS COMMUNAL 2022
RÉSULTATS DU CONCOURS DÉPARTEMENTAL 2022
Suite à la sécheresse exceptionnelle de 2003, les services de l’État se sont organisés pour anticiper et accompagner les situations de tension sur la ressource en eau. La Direction Départementale des Territoires (DDT ), en tant que pilote de la Mission Inter-Service de l’Eau et de la Nature, coordonne les actions de suivi et de gestion de crise.
L’objectif principal de cette gestion consiste à garantir en tout temps une ressource en eau suffisante pour les usages incompressibles au regard de la santé ou de la sécurité (eau potable et défense incendie), tout en maintenant un débit minimal dans les cours d’eau afin d’y préserver la vie aquatique.
Cela passe en particulier par la prise progressive de mesures de restriction visant à limiter la pression de prélèvement sur les milieux aquatiques, avec pour but d’anticiper les situations de tension quantitative.
Les usagers sont donc appelés à maintenir une vigilance particulière afin de limiter leur consommation d’eau et réduire la pression sur les milieux concernés.
Pour toute autre information, consulter le site ci-dessous :
Dernier arrêté préfectoral relatif à la situation de sécheresse
Page 28 sur 47
En 1 Clic
ACTUALITÉS
-
RENTREE 2025 : ABONNEMENT TRANSPORT SCOLAIRE en SavoieNouveau à compter de la rentrée 2025 : un accès illimité au réseau du 01/09/2025 au 31/08/2026 pour les ayants-droit aux transports scolaire de la Région. Plus d'informations
-
FRELON ASIATIQUE : pour lutter contre le frelon, apprenez à le reconnaître et signalez sa présence ! Plus d'informations
-
CONCOURS COMMUNAL DES MAISONS FLEURIES est lancé 🌸Pour participer, l'inscription est obligatoire. Bulletins disponibles en ligne et en MairieRetrouvez toutes les informations sur les modalités de participation > ICI